Aujourd’hui, suite et fin de cette série sur les attelages !
La semaine dernière, je vous ai présenté différents véhicules hippomobiles servant au transport de personnes, cette fois-ci je vais vous parler de véhicules hippomobiles dédiés au transport de marchandises, mais aussi au transport en commun.
Je crois qu’avec cet article, vous allez comprendre pourquoi j’ai dû scinder cette partie des différents attelages en 2. Il existe une myriade d’autres véhicules, aussi s’il vous reste des questions après cet article, n’hésitez pas à me les poser ! 😉
Le transport de marchandises
La charrette
La charrette est un moyen de transport de marchandises constitué d’un plateau et de deux roues. Plus légère que le chariot, la charrette peut être équipée d’un ou de deux brancards qui permettent à un homme, à un ou deux chevaux ou à des bœufs de la tirer. Ce moyen de transport est connu depuis l’antiquité, la charrette est destinée à transporter divers types de marchandises : foin, bois mort, pierres, récolte de fruits ou de légumes, etc. Sous la Révolution française, la charrette servait à transporter les condamnés à l’échafaud où était dressée la guillotine.
Sur la charrette, il n’y a pas de place pour le guide, ce dernier doit marcher à côté de ses bêtes pour les mener.
Dans la famille des charrettes, on peut également parler de la télègue, sa cousine russe. Il s’agit d’une petite charrette basse à quatre roues sans suspension et le plus souvent sans bâche. Elle a surtout été utilisée du XVIe au XXe siècle. Elle est tirée par un ou plusieurs chevaux, plus rarement par des bœufs, buffles ou mules. Elle peut supporter jusqu’à 700kg de marchandises. La télègue est faite traditionnellement de planches de bois avec des roues en bois. Les deux roues avant sont le plus souvent plus petites que les roues arrière.
Le chariot
Le chariot est une plateforme simplement munie de roues pour servir à transporter des charges quelconques. Un chariot est souvent muni de ridelles servant à maintenir ou protéger la charge. Il porte alors le nom de tombereau.
Sur le chariot, il y a une place pour le meneur.
Le chariot bâché ou schooner des prairies est un symbole de la conquête de l’Ouest américain. Il s’agit d’un tombereau (chariot + ridelles) sur lequel on a monté des arceaux pour y attacher une bâche afin de protéger les marchandises et/ou les personnes que l’on transporte.
Le conestoga est un modèle de chariot à grandes roues, recouvert d’une bâche, qui était utilisé pour le transport de passagers et de marchandises au milieu du XIXe siècle aux États-Unis et au Canada. C’est l’ancêtre du schooner des prairies qui, lui, est plus léger.
Une des caractéristiques du conestoga est qu’il ne comporte pas de siège pour le cocher, qui se plaçait sur le cheval de gauche de la dernière paire de chevaux en tenant le fouet de la main droite. Ces chariots se mirent alors naturellement à rouler à droite pour pourvoir surveiller au mieux le croisement sur des routes étroites.
La malle-poste
C’est vrai que la malle-poste est devenue une forme de transport en commun mais, à l’origine, c’était d’abord destiné au courrier. Voilà pourquoi je ne l’ai pas mise dans le chapitre « transport en commun » 🙂
La malle-poste était une voiture hippomobile — oui, j’avoue, j’aime bien ce mot ! — destinée à l’origine au transport des dépêches et du courrier en général, apparue en France vers 1800. La malle-poste succède à la malle-charrette, véhicule affecté au même usage à l’époque de Louis XV et de Louis XVI. La malle-charrette, comme son nom l’indique, était une charrette à deux roues, couverte, tirée ordinairement par trois chevaux : un fort limonier (le cheval entre les deux brancards ou limons), un deuxième cheval en galère (en renfort), et un troisième, le porteur, monté par un postillon. Les forts cahots auxquels la malle-charrette était soumise lui valurent le nom de « panier à salade », bien avant le sens moderne donné à un autre type de voiture bien particulier, les voitures de police.
La malle-poste peut transporter, en plus du courrier, des passagers. C’est donc une voiture plus lourde, fermée, à quatre roues, suspendue sur des ressorts, tirée par quatre ou cinq chevaux. La partie avant, le cabriolet, reçoit le cocher et un passager à côté de lui. Dans la partie centrale, le coupé, prennent place trois voyageurs. La partie arrière est la malle réservée au courrier. Les malles-poste étaient plus rapides que les diligences. Celles-ci, plus lourdes, transportant plus de passagers, devinrent prédominantes au cours du XIXe siècle.
Le mail coach est une voiture hippomobile, tirée par quatre chevaux, qui était destinée au transport du courrier en Grande-Bretagne. C’est l’équivalent de la malle-poste française. Le mot « mail », qui désigne aujourd’hui en anglais le courrier en général, vient d’ailleurs du français « malle », coffre de voyage et, en l’occurrence, coffre destiné au courrier.
C’est une voiture fermée qui peut accueillir quatre passagers. Un autre passager peut s’asseoir à côté du cocher. Un coffre volumineux pour le courrier est placé à l’arrière. Il est surmonté d’un siège destiné à un employé des Postes qui en assure la garde. Le mail-coach est toujours mené par un cocher, et jamais en poste (c’est-à-dire par un postillon) comme sur le continent. Comme toutes les voitures de poste, la priorité est donnée au courrier, c’est-à-dire à la vitesse, plutôt qu’au confort des voyageurs. Le transport des passagers est alors assuré par les stage coaches, équivalent des diligences continentales. L’usage du mail coach diminue progressivement dans les années 1840 à 1850, supplanté par le chemin de fer. La vitesse du mail coach pouvait varier entre 8 et 13 kilomètres par heure, en fonction de la saison et de l’état des routes. Le garde postal portait une livrée écarlate et or. Il était généralement armé pour se prémunir contre les attaques fréquentes des malfaiteurs. Il avait un cor avec lequel il avertissait les relais de poste de son arrivée, les arrêts devant être les plus brefs possible (souvent les ballots de courrier étaient jetés au passage, sans que la voiture ne s’arrête). Le cor est resté le symbole des services postaux dans de nombreux pays.
Le haquet
Le haquet est une voiture hippomobile très simple, à 2 roues, constituée de deux longs brancards (ou poulains) assez rapprochés, posés sur l’essieu. Il servait à transporter des tonneaux.
Des haquets, à quatre roues, servaient au transport des bateaux utilisés par le Génie.
La laitière
La laitière est un véhicule hippomobile à deux roues, sorte de charrette légère, utilisée pour vendre du lait au détail dans les villes. Le terme ne s’applique donc pas aux autres « voitures de laitier » destinées à transporter du lait en bidons et en plus grosses quantités, qui pouvaient être tout type de voiture à deux ou quatre roues, plus robustes que la laitière.
La triqueballe
La triqueballe est un engin forestier, de type du fardier, qui sert au transport des troncs d’arbre ordinairement peu de temps après leur abattage au cours du débardage. Le tronc est suspendu par une chaîne au niveau de son centre de gravité afin qu’il soit en équilibre, ou qu’il soit le moins possible en contact avec le sol, la réduction des frottements diminuant l’effort fourni par l’animal de trait ou le tracteur.
Le travois
Le travois est une sorte de traîneau attelé, tiré par l’homme ou un animal. Il est généralement formé de deux perches grossièrement parallèles, portant une plate-forme perpendiculaire. L’extrémité des perches repose sur le sol.
Des travois étaient tirés par des bœufs dès le Néolithique, comme on l’a découvert sur le site archéologique de Chalain dans le Jura français. Les Tribus Amérindiennes des Grandes Plaines les utilisaient encore dans leurs transhumances. Ils étaient tirés au bras, par des chiens ou par des chevaux.
Les transports en commun
Le carrosse à 5 sols
Le carrosse à 5 sols est la première expérience au monde de transport en commun urbain, concept développé par le philosophe et mathématicien Blaise Pascal. Cinq lignes relient plusieurs quartiers de Paris à partir du 18 mars 1662 (v. carte ci-contre et pour la voir en plus grand, c’est par là : Plan des lignes des carrosses à cinq sols). Malheureusement, les restrictions imposées par le parlement de Paris, ainsi que la hausse des tarifs, amènent l’entreprise à péricliter rapidement : elle disparaît en 1677.
En novembre 1661, Blaise Pascal fonde une société avec le duc de Roannez. Ils présentent une requête pour établir l’exploitation de « carrosses qui feraient toujours les mêmes trajets dans Paris d’un quartier à l’autre, savoir les plus grands pour cinq sols marqués… et partiraient toujours à heures réglées, quelque petit nombre de personnes qui s’y trouvassent, même à vide s’il ne se présentait personne, sans que ceux qui se serviraient de cette commodité fussent obligés de payer plus que leurs places. »
Les voitures (des carrosses au sens technique du terme) sont tirées par quatre chevaux et conduites par un cocher et un laquais. Chacun porte une casaque bleue aux armes du roi et de la Ville de Paris. Ces voitures sont lourdes et mal suspendues par de grosses courroies de cuir. Elles comptent huit places. Elle ne s’arrêtent que pour laisser, à la demande, monter ou descendre les voyageurs tout au long de la route.
Le coche
Le coche est un véhicule attelé hippomobile fermé. De là découle le nom de son conducteur, le cocher, qui s’est maintenu pour tous les types de voitures hippomobiles bien après la disparition du coche lui-même. Il servait au transport de personnes, principalement sous forme de transport en commun (sa capacité était de six à huit places). Il servait aussi bien en ville que pour les longs trajets.
Le terme provient du nom du village de Kocs en Hongrie. Il entre dans la langue française en 1545.
Sa structure comprend une caisse en osier avec une armature en bois. Si les premiers ne sont probablement pas suspendus, la plus ancienne représentation connue d’un coche montre une caisse maintenue par des barres de fer partant de l’extérieur des moyeux des roues, le seul amortissement étant l’élasticité relative du fer. Ensuite, la caisse est suspendue ou des chaînes ou des sangles de cuir à des bras fixés aux essieux, ces derniers étant reliés entre eux par une poutre centrale. Les quatre roues sont de taille identique et le train avant, d’abord fixe, peut ultérieurement pivoter mais offre peu de possibilités de braquage.
Le coche est tracté par deux à six chevaux en attelage, le cocher étant assis à l’avant de la voiture, sur un strapontin ou un banc surélevé. Le freinage est assuré par un coin que le cocher peut plaquer contre une des roues avant à l’aide d’un levier qu’il commande du pied, puis une chaîne qui enraye le mouvement des roues. Ce mode de freinage n’est cependant pas très fiable, et la sécurité de ce moyen de transport n’est pas très élevée. La caisse ne dispose pas de portière, mais les passagers sont protégés habituellement par un toit (souvent en dôme) soutenu par des colonnes.
Par la suite, la caisse est fermée afin de protéger les passagers des intempéries, par des peaux de vache, puis des panneaux de cuir. On ferme les parties avant et arrière par des panneaux de bois. On dispose des banquettes en vis-à-vis le long des parois latérales.
Petite note amusante : l’expression « rater le coche » s’utilisait à l’origine au sens propre, comme on dirait maintenant rater l’autobus.
La diligence
La diligence est une sorte de berline pour le transport en commun. Elle succède au coche, plus spartiate et plus lourd. La diligence est destinée à de longs trajets entre les villes et non à des trajets urbains et péri-urbains (comme le sont le carrosse à 5 sols, le cab, le fiacre, l’omnibus et le tramway). Plus lente, mais beaucoup plus confortable que la malle-poste, la diligence est devenu le moyen de transport privilégié des voyageurs à partir du XIXe siècle et perdura jusqu’à la démocratisation des chemins de fer. Il est d’ailleurs très amusant de noter que les premières voitures de chemin de fer n’étaient autre que des caisses de diligences adaptées au voyage sur rail !
Même si la diligence est l’un des symboles du Far West, il me semble important de rappeler qu’elle a d’abord été mise en service en Europe.
Il est à noter qu’il existait également des dormeuses. Au XIXe siècle, était une voiture hippomobile spécialement aménagée pour permettre à ses occupants de s’y allonger pour dormir. Ce pouvait être n’importe quel type de voiture (berline, coupé, etc), pourvu que cet aménagement y soit réalisé. L’avant ou l’arrière pouvait s’abaisser de manière à fournir l’espace nécessaire.
La tartane
La tartane est originaire des pays catalans. C’est un chariot à deux roues recouvert d’une bâche fixée sur des arceaux que l’on rencontrait des deux côtés des Pyrénées. Souvent employée là où les diligences n’ont pas accès, elle est réputée pour son inconfort, à la fois du fait du surnombre habituel des passagers et des mauvaises odeurs liées aux paillasses rarement changées. Les tartanes sont encore utilisées couramment dans les Pyrénées-Orientales jusque dans la première moitié du XIXe siècle, voire plus tard là où les routes restent embryonnaires.
Le fiacre
Le fiacre est un véhicule hippomobile ancien en général fermé à quatre places, quatre roues et parfois doté de suspensions. Le terme de fiacre répond plus à sa fonction qu’à un type particulier : le fiacre d’hiver, fermé, correspond à un coupé, tandis que la forme d’été, ouvert, est plutôt le cabriolet-milord.
C’était une voiture de louage conduite par un cocher qui réalisait des transports de personnes à la demande pour une durée déterminée. L’origine semble être la concession accordée en 1620 à des propriétaires de carrosses pour opérer ce type de transport. Sa fabrication en bois lui a valu l’appellation populaire de « sapin ».
Le cab
Le cab est une voiture hippomobile, ancêtre du taxi moderne, et typique de l’Angleterre du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Ses origines sont très anciennes. C’est une voiture à deux roues, à deux places, couverte, avec un siège pour le cocher, surélevé, placé à l’arrière. Son nom est une abréviation de cabriolet. Le terme est toujours en usage en Grande-Bretagne et dans les pays anglophones pour désigner un taxi automobile.
L’omnibus
L’omnibus (du latin omnibus, « pour tous ») est, historiquement, un véhicule à traction hippomobile assurant un service de transport public régulier. L’omnibus circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui le distingue du fiacre, ancêtres des taxis, qui, loué spécialement, se rend à la destination requise par ses clients. Le tramway, dont l’idée est importée d’Amérique, ne sera expérimenté en France qu’en 1853. Plus tard, avec l’apparition des chemins de fer, et par glissement de sens, on nomme omnibus un train qui dessert toutes les gares d’une ligne (par opposition à train direct) ; ce terme en vient à désigner un train lent (parce qu’il s’arrête partout), par opposition à rapide, semi-rapide ou express.
Nous avons vu que les premiers transports publics réguliers ont été conçus par Blaise Pascal. Néanmoins, les carrosses à 5 sols n’étaient pas accessibles à tous, les petites gens n’avaient pas le droit d’emprunter ces moyens de transports. Or, l’omnibus se voulait accessible à tous.
À la fin du XIXe siècle, les voitures d’omnibus sont souvent soit dérivées du modèle parisien (modèle ci-contre), à impériale et roues inégales, soit du type « Car Ripert » (v. photo du tramway), conçu par le carrossier marseillais Ripert au début des années 1880, plus pratiques et plus légers que les omnibus parisiens, transposant pour la route le petit tramway à plates-formes extrêmes qui existait à l’époque.
Le tramway
Le tramway est un véhicule hippomobile de transport en commun urbain et interurbain sur rail. Il est apparu à New York en 1832. Tout comme l’omnibus, le tramway circule à des horaires déterminés sur des lignes fixes, ce qui vaut mieux puisque c’est difficile de sortir des rails…
L’innovation de Ripert réside dans l’adaptation d’une caisse de tramway, véhicule sur rails, à un véhicule routier, donc affranchi de la contrainte de la voie, ce qui lui permet de se libérer facilement d’un encombrement de circulation, ou de modifier son itinéraire, ce que ne peut pas faire un tramway tributaire de ses voies. Le Car Ripert est attelé de deux chevaux, alors qu’un seul cheval suffit à un tramway sur rails. Il est doté d’une plateforme à chaque extrémité, le conducteur sur la plateforme avant, le contrôleur à l’arrière, et il peut transporter entre douze et vingt-six passagers assis sur deux banquettes longitudinales. Il représente un progrès sur l’ancien omnibus à impériale, plus lourd et moins maniable.
Le Car Ripert est conçu pour circuler éventuellement sur les rails d’un tramway existant, ce qui facilite la traction. Sinon, une cinquième roue placée sur la flèche de l’attelage peut aussi s’insérer dans un rail de tramway pour assurer la direction1. Le train avant a un rayon de braquage très réduit, et un faible empattement, qui lui donnent une grande maniabilité. L’éclairage, tant extérieur qu’intérieur, est fourni par deux lampes à pétrole placées à chaque extrémité. Les voitures peuvent être livrées fermées, avec vitres et aération par des jalousies hautes, soit en version « été », ouvertes. La suspension par ressorts est assez rudimentaire et les passagers sont assez secoués.
Le nom est une référence redondante aux transports en commun puisqu’on y trouve tram(way), omnibus, et car, qui à l’époque n’est pas l’aphérèse actuelle d’« autocar », ni même le nom anglais de l’automobile encore inexistante, mais le nom américain du tramway, streetcar. C’est pourquoi il est écrit à l’époque comme une marque (même fautivement « Cars-Ripert », voir ci-dessous), avec une majuscule, alors que la tendance actuelle est de le confondre avec le nom commun.
Le corbillard
Le corbillard est un moyen de transport particulier. J’ai choisi de le mettre dans les « transports en commun » parce que j’ai préféré le considérer comme le dernier taxi.
Le corbillard est un véhicule dans lequel on transporte les morts au cours des rituels funéraires, entre l’église (le temple ou le lieu où se fait la cérémonie funéraire) et le lieu d’inhumation ou de crémation.
Le corbillard ancien pouvait être, selon la taille des communes ou des paroisses, et en fonction de l’importance du rituel funéraire, soit une simple charrette à bras, poussée ou tirée par des hommes, soit un véhicule plus important, à quatre roues, avec un baldaquin plus ou moins orné, tiré par un ou plusieurs chevaux. Dans les pays occidentaux, le corbillard était peint en noir, couleur du deuil, avec éventuellement des ornements blancs (croix, larmes, etc.), argentés ou dorés. Le corbillard et les ornements blancs étaient parfois utilisés pour les jeunes enfants. Pour les véhicules automobiles actuels la tendance est de remplacer le noir par un gris foncé.
Pour la petite histoire, au Moyen Âge, des bateaux à fond plat faisaient la navette entre Paris et Corbeil pour apporter des denrées et des matériaux de construction. Ils étaient appelés corbeillards. Lors de la grande épidémie de peste de 1347, ces bateaux servirent à évacuer les morts et le terme resta aux véhicules funéraires.
Voilà ! C’est fini ! J’espère que ça vous a plu et que ça vous aura donné des idées 😉
Toutefois, comme je vous l’ai dit, il existe beaucoup d’autres véhicules hippomobiles. Donc, si vous désirez en apprendre plus sur d’autres véhicules, je vous invite à consulter la liste des véhicules hippomobiles disponible sur Wikipédia ou à me poser vos questions 🙂